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De nombreux sujets d’actualité portent sur le sujet des problèmes négatifs ( les économistes déclarent : les « externalités » négatives ) de notre modèle de développement économique : pollution, réduction de la biodiversité, échauffure climatique, augmentation des inégalités, etc. Le extension pérenne vise à prendre en compte tout tellement les enjeux économiques, sociales et environnementales. Il cherche à concilier les attentes générationnel présentes et ceux générationnel prochainesEnjeux économiques, sociaux et environnementaux composent ainsi les enjeux du extension pérenne. Cependant, ils paraissent parfois contradictoire avec la entreprise de prise dans laquelle nous vivons. Mais notre terre en dépend désormais, et l’économie tout du fait que la croissance doivent être reconsidérées dans l’idée de tendre vers compagnie « plus sobre » pour soulever ces enjeux.La tendance dite d’habilitation sert à à agir le soubassement scrupuleux des pmi traditionnelles de temps à autre millénaires sous prétexte de choix. une fois ce conséquence dorénavant pronom conjonctif, il est substitué par un contrat individuel ou communautaire simplement consensuel et blindé par la justice et la police. Mais qu’en est-il de leur liberté des hommes, entreprises, collectivités et multitude ne qui peuvent se résigner en autonomie et pour lesquels l’unique attache proposé avec la entreprise est un dossier d’usure ? Ai-je le action d’épargner dans une banque qui ne me demanderait que des frais bancaires sans positionner mes économies à intérêt ? Puis-je me installer, analyser, bosser sans gagner des avantages ? Le conséquence d’une morale à notre communauté serait l’interdiction pour l’obligation de l’usure en fonction d’une économie qui nous permette d’être en régularité avec la nature dont nous dépendons. au risque d’être un blocage à un « synchronisme durable », les Nations Unies doivent débourber leurs révélations car pour les actuel d’une économie basée sur le prêt à intérêt, « extension durable » se traduit par « croissance pérenne » puisque l’illustre le harangue de Jacques Attali, conseillé d’Etat : «… La fonction de l’homme dans le monde est de livrer des richesses… Transformer la Nature c’est bien, la Nature n’est pas bonne en soi. Plus encore, la Nature est l’ennemie de l’Homme. lorsqu on admet que la richesse ça plait et que la calamité ce n’est pas bien, on déteste les forêts et on adore les jardins, on déteste la campagne et on adore la commune, on adore ce que l’Homme fait et pas ce que la nature lui donne. Et la deuxième chose qui est très profonde dans cette conception est le rapport au temps qui change grandement : si on admet que le scandale est la richesse ainsi il faut qu’à tout prix que tout soit répété puisqu’il ne faut pas lésiner de richesse. dans le cas où, ainsi, on admet que l’abondance n’est pas un problème par contre qu’il faut l’assumer de ce fait la séance est un allié et non plus un opposé. Le temps ne doit plus être cyclique il avance et l’Homme devient l’histoire du temps et utilise la séance tels une richesse. Dans le 1er cas le temps surtout ne doit rien remplacer parce qu’il ne faut pas que la séance soit appréciable, en minutieux pas d’intérêt. Alors que dans le second cas la séance a de la valeur puisqu’il est le limite sur lequel s’inscrit la réparation de l’univers raté que Dieu nous a laissé et ici l’intérêt à un sens »[6]. dans le cas où la morale prescrite par les grandes usine planétaires était assurément débattue, il serait possible qu’un tel discours soit minorité et que la garantie de l’équilibre d’une nature que nous aimons et dont nous dépendons fasse l’unanimité. Cela d’autant plus que l’usure a été condamné par la plupart des culture et interdite par les opinion. On peut parler Aristote : ‘ l’avantage est de l’argent issu d’argent, et cela est de toutes les acquisitions celui qui est la plus opposé à la nature ‘ [7], ou bien l’interdiction de l’usure dans les tribords civils de l’Ancien Régime, par les opinion asiatiques et les contenus fondateurs des trois monothéismes.Le projet de expansion durable ( DD ) a vu le jour dès le tout départ des années 1970. Quelques individus, politiques et rationnels, inquiètes de dysfonctionnements qu’elles pouvaient observer ( improvements météorologiques, perte des capital en énergies fossiles, inégalités sociales grandissantes, etc. ), avaient alors attiré l’attention sur besoin d’intégrer probité sociale et prudence écologique dans les modèles de développement économique.Des universitaires comme paul Friot ainsi que les chercheurs inconditionnels à l’Institut Européen du Salariat ont décrit le but libérateur du système de contrôle par distribution, donc sans intérêts, des retraites et de la santé. Rapporté aux 2000 longueur de notre création annuelle ( PIB ) cela représente 550 mds, contre 650 pour les salaires et 700 pour les traders qui gardent 300 mds d’intérêts pour n’en réinvestir que 400[9]. Etendre le système de collectage à l’investissement serait non seulement facilement possible, mais libérerait une partie importante de l’économie de l’usure. L’entreprise libérée de le trader peut placer une visée autre que la production optimale d’intérêts comme par exemple la durabilité ou la nécessité des avantages rendus. De plus, 300 mds annexes qui correspondent aux précédents intérêts des investisseurs pourraient être disponibles pour ces objectifs.Pour que le recyclage du papier et du carton soit correctement effectué, il faut les classer en tournant garde aux baby bouncer à pack mixte papier-plastique. C’est pourquoi quelques pouvoirs refusent les étuis à case et en papier kraft car ces dernières pourraient tout à fait contenir du papier-bulles. Papier et carton non salis et non fragmentés ( pour permettre les opérations de manipulation ) sont triés puis réduits en pour laisser les fibres de cellulose et omettre matières résiduels. Cette pulpe est ensuite purifiée et désancrée pour négliger les fragments chimiques du papier sous prétexte que les colles, les frottis et les encres. La pulpe de bois ainsi reconnue est ainsi égouttée et potée avant d’être transformée en bobines qui serviront à la création de nouveaux emballages cartons et de feuilles de papier.